Retour accueil

Aller page suivante
 
       
 
Hi Suk Jeon-Ronin
Hi Suk Jeon-Ronin
 
 

Je suis céramiste d'art. Française née en Corée, je viens de m'établir dans le Périgord dans le sud de la France.
Je réalise principalement des poteries contemporaines en grès.

J'ai eu la chance de pratiquer les trois techniques de poterie parmi les plus célèbres : coréennes, japonaises et françaises.
Plusieurs années d'études et de pratiques en Corée, puis en France, enfin au Japon avec un grand maître me permettent aujourd'hui de marier les techniques et les styles.

J'ai fait quelques expositions, parfois avec des céramistes, parfois avec des peintres, tant à Séoul qu'à Tokyo où à Paris, et maintenant dans le Périgord.

J'ai également enseigné la poterie en France, en particulier dans le cadre des activités culturelles de la ville de Paris.

 

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
 

Le métier de potier

Le métier de potier est remarquable à plus d'un titre.

  • Tout d'abord, notre outil principal est la main. En connaissez vous un de plus sophistiqué ?
    • à commande vocale muette,
    • versatile,
    • obéissant,
    • précis,
    • imaginatif,
    • inventif,
    • capable d'improvisation,
    • toujours prêt,
    • jamais en panne,
    • toujours en 2 exemplaires...
  • Ensuite, notre matière première est l'argile. Elle aussi est remarquable.
    • terre noble,
    • abondante dans la nature,
    • non polluante,
    • pratiquement à l'écart du mercantilisme (non cotée au Chicago Commodity Stock Exchange !),
    • et surtout, c'est une matière agréable au toucher, qui nous lie physiquement à notre planète Terre. Manipuler l'argile, c'est un peu renouer avec l'homme antique dont le contact avec la terre était quotidien.
  • Par contre, Potier, ce n'est pas un métier romantique. Savez vous que pour réaliser une jarre coréenne de 50 cm de haut, il faut environ 40 kg d'argile ? Il faut également une force considérable pour transformer un cube d'argile en un pot raçé et élégant : force des bras, des poignets, des mains, et aussi des jambes si on utilise un tour manuel !

    Quant aux mains, si vous saviez ce qu'elles souffrent ! Le contact prolongé avec l'argile mouillée irite leur peau, les efforts soutenus provoquent douleurs et tendinites, l'argile chamottée les abrasent, bref, c'est un métier qui abime les mains (surtout mes mains de femme) !

  • Mais qu'importe, c'est un métier que j'aime et qui m'apporte beaucoup plus que ce qu'il me demande.
    Croyez moi, je ne saurais m'en passer !
 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
 

  Mes nouvelles collections

 

 
 

 

 

Ma nouvelle collection 2010 (bouteilles et bambous)

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
 

 Au travail

 

 
 

 

 

Emaillage de la collection 2010 (théières)

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
 

 Mes ateliers

 

 
 

 

 

2010 : mon nouvel atelier à Lissac est une cave voutêe du XIX siècle

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

 

Remplissage du four

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

 

Mon premier atelier à Lissac

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

 

Mon premier atelier à Lissac

 
 

 

 

Atelier immortalisé par Salvatore Verniti

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

Mes ateliers en Corée, au Japon, en France.

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
 

  Magazine CASA février 2002

 

 
 

 

 

Magazine CASA février 2002, page 1/4

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

 

Magazine CASA février 2002, page 2/4

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

 

Magazine CASA février 2002, page 3/4

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
     
 

 

 

Magazine CASA février 2002, page 4/4

 
 
 
 

Retour haut de page

Aller page suivante
 
 

  Mon adresse !

 

 
 

 

 

Rendez moi visite !

 
 
 
 

Retour accueil

Retour haut de page